La glycémie capillaire

L’autosurveillance glycémique (ASG), en constituant le “symptôme manquant” chez le diabétique, est un outil précieux d’éducation .

Les techniques actuels d’autosurveillance permettent d’obtenir des appareils de plus en plus performants (norme iso 2013).

Néanmoins, il est indispensable que  la technique d’autosurveillance soit réalisée selon des règles strictes.

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 Chez qui et quand doit-on faire une glycémie capillaire (GC) ?


télécharger les recommandations de l’HAS sur les indications et la prescription d’une ASG novembre 2007


Chez le patient insulino traité:

        •afin d’adapter la dose d’insuline et d’atteindre les objectifs de normoglycémie (au minimum à jeun avant chaque injection et en post prandiale afin d’adapter la dose d’analogue rapide).

        •afin de dépister et de prévenir les hypoglycémies (en cas d’exercice physique, hypoglycémie non ressentie ...)

        •afin de prévenir les hyperglycémies sévères et la céto-acidose  (fréquence de l’autosurveillance augmentée si maladie intercurrente, prescription de corticoïdes, vomissements, diarrhée, chirurgie...)


Chez le patient sous antidiabétiques oraux:

        •afin de le sensibiliser à l’intérêt de la diététique et d’un exercice physique

        •afin de déterminer la posologie d’un sulfamide ou d’un glinide en début ou lors d’un changement de doses (à jeun , en postprandiale ou vers 17h en alternant les horaires sur la semaine)

        •en cas de maladie intercurrente ou de prescription d’un médicament diabétogène (corticoides ...), chirurgie la fréquence de l’autosurveillance doit être augmentée


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Technique d’autosurveillance 

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